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Docteur AVOLONTO

Docteur Justin T. AVOLONTO

Directeur du CIFM

Chers jeunes gens,

Il me plaît de m’adresser directement à vous aujourd’hui ! Je ne peux m’empêcher de le faire, parce que toute ma vie active à la Fonction Publique béninoise, vous a été consacrée en tant que Censeur du Lycée Toffa 1er à Porto-Novo, Directeur du Cours Secondaire ex-PROTESTANT (CSP) à Cotonou, Directeur du C.E.G. AKPAKPA-CENTRE à Cotonou, Directeur du C.E.G. GBEGAMEY à Cotonou, Professeur à l’Ecole Normale Supérieure à Porto-Novo, et, depuis l’année 2011 jusqu’à ce jour, Chercheur à l’Université d’Abomey-Calavi au Laboratoire scientifique LabRA (Laboratoire de Recherche Rétrospective Afrique).

Comme vous le voyez, je connais vos difficultés et vos soucis majeurs. Je connais aussi vos appréhensions, vos besoins, vos espoirs, et même, vos rêves ! Tous, autant que vous êtes, vous avez une ambition légitime : trouver un emploi qui vous permette d’apporter vous-aussi votre pierre à la construction de notre pays, le Bénin. Du haut de mon expérience de plusieurs années parmi vous, je puis vous affirmer que vous pouvez y arriver grâce au CIFM où plusieurs formations professionnelles des plus recherchées, vous sont proposées. (Voir l’encadré sur les formations dispensées au CIFM et les structures d’accueil des apprenants en fin de formation). C’est donc pour réaliser vos rêves, ensemble avec vous et vous redonner confiance et espoir, que j’ai accepté de diriger le Centre International de Formations Modernes (CIFM) depuis le 6 octobre 2000.

Par ailleurs, conscient de ce qu’une bonne formation professionnelle doit reposer de nos jours sur un cursus scolaire acceptable, nous nous sommes donné le devoir de créer, dans le même centre, depuis l’an 2000, un Collège d’Enseignement Général qui va de la 6e à la classe de Terminale dans toutes les séries. J’invite ceux d’entre vous, qui veulent obtenir le BEPC ou le BAC à s’inscrire dans ce collège de référence qui a déjà fait ses preuves sur le terrain.

Quant à vous, chers parents d’élèves, je dois dire que plus vos enfants auront leur mot à dire dans le choix de leur école, plus ils la fréquenteront avec assurance. Voilà pourquoi j’ai voulu m’adresser d’abord à eux. Ce faisant, je n’ai nullement envie de mettre la charrue avant le bœuf ! Les Anglais ne disent-ils pas "the last but not the least" c’est-à-dire "le dernier mais pas le moindre" ? Il vous reste à les encourager à choisir le CIFM. Vous ne serez pas déçus.

A vous tous, je souhaite une BONNE RENTREE SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE !

Notre Histoire

En 1990, l’historique conférence des forces vives de la nation, a fait un constat amer : l’Ecole béninoise, autrefois si compétitive, était malade. La situation était beaucoup plus préoccupante dans le secteur public de l’Ecole que dans celui privé. Les résultats au BEPC et au BACCALAUREAT, étaient catastrophiques d’année en année, allant jusqu’au-dessous de la barre de 5% au BEPC et de 10% au BACCALAUREAT. De même, notre Ecole était incapable de résoudre l’équation ECOLE=EMPLOI.

C’est dans ce contexte que, neuf ans plus tard, en 1999, un membre de la diaspora béninoise à Libreville, Monsieur SESSINOU C. François, se faisant entourer de cadres béninois de l’Education, prit l’initiative de réfléchir à la situation. Les réflexions que menèrent ces patriotes, aboutirent à la création du collège CIFM qui arriva comme une réponse à la dégradation de l’Ecole dans notre pays. Voilà pourquoi une gestion rigoureuse avec des enseignants de qualité, ont fait de ce collège, une école de référence.

Pour répondre par ailleurs à l’incapacité de l’Ecole béninoise d’alors à former ses apprenants pour l’emploi, Monsieur SESSINOU et son équipe, créèrent l’école professionnelle CIFM où sont formés les jeunes gens aux métiers d’avenir, par de véritables spécialistes des questions abordées.

Afin de sortir des sentiers battus et offrir une formation véritablement moderne, avec, à la clé, un stage digne du nom, le CIFM a noué à Accra au Ghana, des partenariats solides avec des écoles et instituts où les étudiants de la formation professionnelle vont parachever leurs études en six ou neuf mois selon la filière. L’objectif est de leur permettre de devenir bilingues et d’obtenir un diplôme américain. En dix-neuf années d’existence, le nombre d’apprenants que le CIFM a livré sur le marché du travail au Bénin et dans d’autres pays, indique que la renommée de cette école n’est plus à faire.